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    L’Europe, étouffée par la crise de la dette

     

    Le 22 novembre pour les bourses européennes est, une fois de plus, un jour fatidique. Cela dit, le plan boursier de l’Europe s’étouffe de plus en plus à cause du rehaussement de la bourse américaine récemment, et aussi la faille engendrée par la banque centrale européenne à propos de la crise de la dette en France et en Allemagne. Une situation de surendettement est alors plus qu’envisageable pour l’Europe.


    La croissance américaine, une déception pour les analystes


    Sachant que la première évaluation du gouvernement américain concernant le taux de croissance du PIB était de 2,5 %, l’initiative finale est confirmée à 2,0 %. Un fait très décevant pour les analystes qui s’attendaient à un taux de croissance plus élevé.
    Ces derniers jours sont alors plus marqués par le déficit que par la stabilisation. D'ailleurs, cette situation n’est pas prête à s’arranger, vu la statistique sur la crise de la dette en Europe.
    L’Allemagne tente tout pour sortir de la perte
    Des tensions sont créées partout où l’Allemagne voudrait sortir de la crise de la dette. D’abord, par rapport à la France pour le rôle de la banque centrale européenne vis-à-vis de la crise de la dette, ensuite par rapport à l’Espagne pour retrouver une solution efficace face à la perte qu’il a subi ces derniers temps.


    Quelques statistiques illustrant la chute boursière européenne


    Le déficit le plus minime est celui de Londres : Footsie-100 cède 0,30 % à5.206, 82 points. L'Eurostoxx 50 a connu une perte de 1,09 %. Lloyds Banking Group sombre dans sa défaite, vu qu’il a perdu -4,40 % à 22,39 points. Enfin, International Airlines Group (IAG) a perdu 5,17 % à 132 pence.
    La crise de la dette gagne une échelle de plus en plus vaste, et face à la situation économique mondiale, nul ne pourra empêcher une crise de la dette dans le monde.

    Néanmoins, le recours aux prêts bancaire est toujours passé en prioritaire, et ceci se manifeste par la statistique très serrée du taux de crédit actuel. Les crédits immobiliers constituent la cause primaire de ce taux si étroit. En contrepartie, le gouvernement français a pris les mesures nécessaires pour règlementer cette situation.


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